Les réseaux de la "Françafrique" ne peuvent exister que dans l’opacité : faire la lumière sur cette relation vampirique revient à la tuer, tant le peuple français correctement informé ne saurait supporter que soient commises de tels actes en son nom. Il faut donc braquer les projecteurs de l’opinion publique sur ces crimes.
Les grands médias n’assument pas cette mission d’information, pour des questions d’intérêt (plusieurs géants de la presse et de l’édition appartiennent à des groupes qui n’ont aucun intérêt à ce que les agissements de leurs filiales présentes en Afrique soient révélés : Lagardère, Dassault, Bouygues, etc… Et quelques journalistes sont parfois les bénéficiaires directs des largesses de certains dirigeants africains) ou de recherche d’audimat (la politique internationale – et notamment africaine – ne passionne pas vraiment les téléspectateurs... pour lesquels il est plus confortable de croire que "les ennemis de l’Afrique, ce sont les Africains"- dixit Alpha Blondy).
Il est donc du devoir de chacun de palier à ce criminel déficit d’information.
A l’échelle locale comme à l’échelle nationale, les adhérents de Survie interviennent par :
des campagnes d’interpellation des citoyens et des élus.
campagnes de long terme ou mobilisations d’urgence, interpellations des élus, organisations de conférences de presse, envois de communiqués aux médias...
Des publications pour diffuser l’information :
Ces efforts seraient vains sans un travail permanent d’expertise :
Enfin, Survie participe à différents collectifs d’associations :